Le Tueur s'impose d'emblée comme un classique du roman noir. Le public et la critique sont unanimes ? (Le Figaro littéraire). Un découpage époustouflant minute le suspense de case en case (...) Jamais un détail inutile ne vient troubler la machine du récit. Mati a réussi à créer un personnage d'une profondeur quasi philosophique. Et Jacamon l'a mis en scène dans un style oppressant, (24 Heures). Anonyme, implacable, sans scrupule mais diablement attachant, Le Tueur(...) est un best-seller, (Le Soir).
Luc Jacamon Books



À la fin du premier tome (Long feu), on avait laissé le Tueur dans l’avion, en cavale, destination Cayenne. On le retrouve au Vénézuela, au soleil. Il s’est refait, il a récupéré ; il est même accompagné d’une fille superbe avec laquelle il semble se la couler douce. Il apprend de la bouche d’un autochtone qu’un Gringo est arrivé dans le coin. Pour le Tueur, ça sent mauvais : très vite, il s’aperçoit que le type en question le surveille. Il s’agit de Laporte, un flic qui avait commencé à prendre le Tueur en filature à Paris ... On est toujours sur la trace du Tueur, à “écouter” son monologue, à s’habituer à sa logique implacable de solitaire et on a tout de suite envie, en refermant ce deuxième tome, de connaître la suite de son histoire. On se prendrait presque de sympathie pour lui.
Zabiják
- 118 pages
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Když se potřebujete schovat, žádná džungle ani poušť neposlouží tak dobře jako velkoměsto. A tak se Zabiják vrací do Paříže, aby si lízal rány a mohl přemýšlet, co dál. Ale ne moc dlouho, události totiž nabírají spád. Zabiják je připraven na všechno – a nikdy není tak nebezpečný, jako když je v úzkých. Hrát najisto, jako míval ve zvyku, a zároveň se pomstít, to prostě nejde najednou, takže se musí rozhodnout.