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Antoine de Caunes

    J'aime beaucoup ce que vous faites
    Vous permettez que je vous appelle Raymond ?. Pas mal pour un lundi
    Bien entendu, je plaisante
    Pas Mal Pour un Lundi
    • 1995

      Bien entendu, je plaisante

      • 204 pages
      • 8 hours of reading

      Merci, ami lecteur, d'avoir eu l'excellente idée, comme tu viens de le faire à l'instant, de retourner ce livre qui, à son tour, va te retourner, puisqu'il marque un tournant décisif dans l'humour de cette fin du second millénaire. Et comme tu t'apprêtes à en faire l'acquisition, nous tenons à te féliciter chaleureusement, car il se peut que tu hésites encore et ce serait vraiment trop bête de laisser filer une telle occasion. Pour achever de te convaincre, nous pensons nécessaire de jouer la franchise et la transparence avec toi: - Nos droits d'auteur ne seront en aucun cas reversés à une cause humanitaire. - Ce livre n'est malheureusement pas imprimé sur papier recyclé. - Il ne contient pas de rires préenregistrés. - Nous n'avons pas eu recours à des nègres. - Surtout, cet ouvrage ne bénéficiera jamais d'articles promotionnels dans le Monde des livres, dans le supplément littéraire de Libération ou le les pages culturelles de la Gazette d'Oulan-Bator. Voilà, maintenant, ami lecteur, à toi de jouer! Merci pour tout.

      Bien entendu, je plaisante
    • 1991
    • 1990

      On me demande souvent comment je m'y prends, jour après jour, pour pondre – imperturbablement semble-t-il – ces portraits quotidiens, dont les victimes plus ou moins consentantes sont aussi disparates qu'Alain Delon peut l'être d'Hervé Bazin ou Jeanne Mass de Frédéric Dard. Chaque fois, je réponds la même chose. J'ai des secrets. D'abord, la complicité d'un fou de la documentation, du détail syntaxique, et de la floraison rhétorique, Albert Algoud, sans qui tout cet édifice vacille certainement sur son fondement (un peu comme... bien que pour d'autres raisons). Ensuite, le temps : quoi qu'il arrive, à 19 heures pétantes, chaque jour, tout doit être bouclé. Quels que soient l'humeur, la météo, les peines de cœur ou les tracas digestifs. Et ça, croyez-moi chers lecteurs – vous permettez que je vous appelle chers lecteurs ? –, je ne connais rien de plus stimulant. Maintenant, à vous de jouer et je n'aurai qu'un souhait : amusez-vous, comme nous nous sommes amusés !

      Vous permettez que je vous appelle Raymond ?. Pas mal pour un lundi
    • 1990