Focusing on the meaning of space for the French and the connection between the nation's history and its geography, this is the second volume in the translation of Nora's "Les Lieux de memoire". The essays gathered here cover essential approaches to French space: external and internal boundaries, the base unit of local space, and more.
The third and final volume in Pierre Nora's award-winning (for Volume I) REALMS OF MEMORY, which includes groundbreaking discussions of France's past, powerfully demonstrates how a nation can both recover and rediscover its identity through remembrance, how rewriting history can forge new paradigms of cultural identity, and how meanings attached to an event can be as significant as the event itself. 146 illustrations.
Statt 39,90 € jetzt nur noch 18,00 € In sechzehn Essays entsteht ein lebendiges Panorama der Erinnerungslandschaft Frankreichs, das von historischen Ereignissen bis zu kulturellen Symbolen reicht. Die Autoren beleuchten zentrale Erinnerungsorte, die das kollektive Gedächtnis der Nation prägen, darunter der königliche Hof, Jeanne d'Arc, die Französische Revolution, Verdun, Vichy, Marcel Prousts „Auf der Suche nach der verlorenen Zeit“ und die Tour de France. Es geht nicht um eine bloße Aufzählung von Ereignissen, sondern um eine Symbolgeschichte, die untersucht, wie diese Orte im Gedächtnis der Franzosen fortleben. Die Essays bieten eine tiefgehende Reflexion über die Verbindung zwischen Geschichte und Gedächtnis, indem sie zeigen, dass die Erinnerung an bestimmte Orte und Ereignisse weit über nationale Grenzen hinausgeht. Diese glänzend geschriebenen Beiträge eröffnen neue Perspektiven auf die französische Identität und deren historische Wurzeln und laden dazu ein, die komplexen Facetten des französischen Gedächtnisses zu erkunden.
À la fin d'Apostrophes, en 1990, Bernard Pivot avait accepté de se livrer avec moi à un jeu régulier de questions et réponses écrites qui avait abouti au Métier de lire. C'était la première fois que l'animateur d'une grande émission culturelle s'expliquait sur son travail, sa technique, ses trucs et sur l'étrange métier qu'il avait fait pendant quinze ans : lecteur public ! À la fin de Bouillon de culture, et à l'occasion du passage de son livre en Folio, Bernard Pivot récidive, complète et conclut. Une expérience unique.
Près de 5 000 pages, 103 collaborateurs, 133 articles... Si l'aspect monumental des Lieux de mémoire impose le respect, il ne doit pas cependant donner le vertige au lecteur. À l'origine du projet, Pierre Nora voulait établir un inventaire des lieux où s'est incarnée la mémoire nationale dans sa dimension symbolique. L'ensemble se présente donc comme une étude de cas, évitant les généralités abstraites. Les auteurs nous dévoilent les sources du succès d'oeuvres que leur aspect patrimonial avait fini par rendre exemptes d'interrogations (les monuments aux morts, le drapeau bleu blanc rouge, La Marseillaise...). Tout l'intérêt de ce travail d'historiens est de nous prouver que la mémoire collective fonctionne selon des principes qui n'ont rien de commun avec la critique historique : le souvenir fonde un lien d'identité plus qu'il ne restitue le passé. Cette perspective novatrice a été féconde. Au projet initial sont venues s'ajouter des contributions multiples. Le résultat est passionnant. --Stéphane Pares
Près de 5 000 pages, 103 collaborateurs, 133 articles... Si l'aspect monumental des Lieux de mémoire impose le respect, il ne doit pas cependant donner le vertige au lecteur. À l'origine du projet, Pierre Nora voulait établir un inventaire des lieux où s'est incarnée la mémoire nationale dans sa dimension symbolique. L'ensemble se présente donc comme une étude de cas, évitant les généralités abstraites. Les auteurs nous dévoilent les sources du succès d'oeuvres que leur aspect patrimonial avait fini par rendre exemptes d'interrogations (les monuments aux morts, le drapeau bleu blanc rouge, La Marseillaise...). Tout l'intérêt de ce travail d'historiens est de nous prouver que la mémoire collective fonctionne selon des principes qui n'ont rien de commun avec la critique historique : le souvenir fonde un lien d'identité plus qu'il ne restitue le passé. Cette perspective novatrice a été féconde. Au projet initial sont venues s'ajouter des contributions multiples. Le résultat est passionnant. --Stéphane Pares
Près de 5 000 pages, 103 collaborateurs, 133 articles... Si l'aspect monumental des Lieux de mémoire impose le respect, il ne doit pas cependant donner le vertige au lecteur. À l'origine du projet, Pierre Nora voulait établir un inventaire des lieux où s'est incarnée la mémoire nationale dans sa dimension symbolique. L'ensemble se présente donc comme une étude de cas, évitant les généralités abstraites. Les auteurs nous dévoilent les sources du succès d'oeuvres que leur aspect patrimonial avait fini par rendre exemptes d'interrogations (les monuments aux morts, le drapeau bleu blanc rouge, La Marseillaise...). Tout l'intérêt de ce travail d'historiens est de nous prouver que la mémoire collective fonctionne selon des principes qui n'ont rien de commun avec la critique historique : le souvenir fonde un lien d'identité plus qu'il ne restitue le passé. Cette perspective novatrice a été féconde. Au projet initial sont venues s'ajouter des contributions multiples. Le résultat est passionnant. --Stéphane Pares
Cet ouvrage, paru en 1974 et depuis lors devenu une référence fondatrice, se veut plus qu'un bilan, autre chose qu'un panorama : un diagnostic sur la situation de l'histoire dite "nouvelle", telle qu'en France du moins la pratiquent alors des historiens venus d'horizons divers et appartenant à des générations différentes, mais qui partagent un même esprit de recherche. Un point de départ aussi pour les voies nouvelles de l'exploration historique. La nouveauté paraît avoir tenu à trois processus que l'ouvrage restitue tour à tour : de nouveaux problèmes ont remis en cause l'histoire elle-même ; de nouvelles approches ont enrichi et modifié les secteurs traditionnels de l'histoire ; de nouveaux objets enfin sont apparus dans le champ épistémologique de l'histoire.
