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Bernard-Marie Koltès

    April 9, 1948 – April 15, 1989
    Dans la solitude des champs de coton
    Fragment mojego zycia
    Quai ouest
    Une Part de Ma Vie: Entretiens, 1983-1989
    Roberto Zucco. Tabataba
    Bernard-Marie Koltès
    • Bernard-Marie Koltès

      Seven Plays

      • 448 pages
      • 16 hours of reading

      Bernard-Marie Koltès, a pivotal figure in late 20th-century French theater, is celebrated for his poetic and innovative approach to language. This anthology features his seven major plays, translated into American English for the first time. Koltès' work, influenced by global cultures and languages, often highlights themes of marginalization and the underdog, particularly resonating with the gay liberation movement in New York. This collection offers a fresh perspective on his unique style, showcasing the depth and musicality of his writing.

      Bernard-Marie Koltès
    • Das letzte, nachgelassene Theaterstück des früh verstorbenen französischen Autors: Roberto Zucco ist ein mehrfacher Mörder. Aber er mordet weder aus Not noch aus Leidenschaft, weder ist er ein Räuber noch ist er ein Rächer: "Ich habe keine Feinde, und ich greife nicht an. Ich zerquetsche die anderen Tiere nicht aus Bosheit, sondern weil ich sie nicht gesehen habe und weil ich auf sie getreten bin." Im Anhang ist Koltès' Einakter TABATABA erstmalig auf deutsch abgedruckt: Anstatt sich, wie alle anderen, in den Straßen Tabatabas zu vergnügen, bleiben Petit Abou und seine ältere Schwester Maïmouna zuhause und ergehen sich in Vorwürfen: über ihr verpfuschtes Leben und die Schande, den Erwartungen - den eigenen wie denen anderer - nicht gerecht zu werden.

      Roberto Zucco. Tabataba
    • Passé les rapports complexes que Bernard-Marie Koltès entretint avec le théâtre, l'ensemble des entretiens qu'il a accordés à la presse écrite constituent une autobiographie involontaire de Koltès ; autobiographie à l'évidence lacunaire, volontairement lacunaire et intéressante comme telle. Alain Prique.

      Une Part de Ma Vie: Entretiens, 1983-1989
    • Un homme voudrait mourir. Il prévoit de se jeter dans le fleuve, dans un endroit désert, et, parce qu'il craint de flotter, il dit : " Je mettrai deux lourdes pierres dans les poches de ma veste ; ainsi, mon corps collera au fond comme un pneu dégonflé de camion, personne n'y verra rien. " Il se fait conduire (dans sa Jaguar, qu'il ne sait pas conduire lui-même), sur l'autre rive du fleuve, dans un quartier abandonné, près d'un hangar abandonné, dans une nuit plus noire qu'une nuit ordinaire, et il dit à celle qui l'a conduit : " Voilà, c'est ici, vous pouvez rentrer chez vous. " Il traverse le hangar, avance sur la jetée, met deux pierres dans les poches de sa veste, se jette à l'eau en disant : " Et voilà " ; et, avec de l'eau sale et des coquillages plein la bouche, il disparaît au fond du fleuve comme le pneu dégonflé d'un camion. Quelqu'un, qu'il ne connaît pas, plonge derrière lui et le repêche. Trempé, grelottant, il se fâche et dit : " Qui vous a autorisé à me repêcher ? " Puis, en regardant autour de lui, il se met à avoir peur : " Qu'est-ce que vous me voulez ? " En voulant repartir, il s'aperçoit que sa voiture est toujours là, qu'on a mis le moteur hors d'usage, qu'on a crevé les pneus. Il dit : " Qu'est-ce que vous me voulez, exactement ? "

      Quai ouest
    • Fragment mojego zycia

      • 128 pages
      • 5 hours of reading

      Zbiór wywiadów autoryzowanych przez Bernarda-Marie Koltèsa, które ukazały się w prasie francuskiej.

      Fragment mojego zycia
    • Dans la solitude des champs de coton

      • 64 pages
      • 3 hours of reading

      « Si un chien rencontre un chat – par hasard, ou tout simplement par probabilité, parce qu'il y a tant de chiens et de chats sur un même territoire qu'ils ne peuvent pas, à la fin, ne pas se croiser ; si deux hommes, deux espèces contraires, sans histoire commune, sans langage familier, se trouvent par fatalité face à face – non pas dans la foule ni en pleine lumière, car la foule et la lumière dissimulent les visages et les natures, mais sur un terrain neutre et désert, plat, silencieux, où l'on se voit de loin, où l'on s'entend marcher, un lieu qui interdit l'indifférence, ou le détour, ou la fuite ; lorsqu'ils s'arrêtent l'un en face de l'autre, il n'existe rien d'autre entre eux que de l'hostilité – qui n'est pas un sentiment, mais un acte, un acte d'ennemis, un acte de guerre sans motif. » – Bernard-Marie Koltès

      Dans la solitude des champs de coton