This author crafts intricate anecdotes, weaving together tales of the living and the dead that reflect the profound presence of the past in the present, a hallmark of Southern storytelling. Their style is defined by the telling of compelling stories that come alive through remarkable voices, emphasizing that these are the narratives readers ultimately remember. Rooted in tradition and the echoes of ancestry, the writing offers a captivating exploration of the human experience.
The story unfolds around a house that becomes central to the characters' lives, ultimately leading to a devastating conclusion marked by destruction. Themes of loss, memory, and the impact of the past are explored as the narrative delves into the intertwined fates of the inhabitants. As secrets are revealed and relationships are tested, the journey reflects on what it means to call a place home and the fragility of life. The emotional depth and evolving dynamics drive the poignant tale to its fiery climax.
Rural Wisconsin, 1909. In the bitter cold, Ralph Truitt, a successful businessman, stands alone on a train platform waiting for the woman who answered his newspaper advertisement for "a reliable wife." But when Catherine Land steps off the train from Chicago, she's not the "simple, honest woman" that Ralph is expecting. She is both complex and devious, haunted by a terrible past and motivated by greed. Her plan is simple: she will win this man's devotion, and then, ever so slowly, she will poison him and leave Wisconsin a wealthy widow. What she has not counted on, though, is that Truitt — a passionate man with his own dark secrets —has plans of his own for his new wife. Isolated on a remote estate and imprisoned by relentless snow, the story of Ralph and Catherine unfolds in unimaginable ways. With echoes of Wuthering Heights and Rebecca, Robert Goolrick's intoxicating debut novel delivers a classic tale of suspenseful seduction, set in a world that seems to have gone temporarily off its axis.
Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 1950, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Ming, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi: on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces.
New York der 80er Jahre: Rooney, der eigentlich künstlerische Ambitionen hat, muss erkennen, dass sein Talent nicht reicht. Stattdessen ergattert er einen Job als Trader bei einer Wall-Street- Firma und wird erfolgreich, geradezu absurd erfolgreich. Nichts scheint unmöglich für ihn und die anderen »Prinzen« von Manhattan. Skrupel, Moral, Integrität - Fehlanzeige. Hemmungsloser Hedonismus ist ihre Devise. Doch wer hoch fliegt, stürzt umso tiefer. Und nicht nur Rooney erlebt den Höllensturz. Viele der Weggefährten fallen dem exzessiven Lebensstil zum Opfer: Drogen, Alkohol und einer geheimnisvollen neuen Krankheit, die noch keinen Namen hat.
C’est au cours de l’été 1948 que Charlie Beale arriva à Brownsburg. Il était chargé de deux valises – l’une contenait quelques affaires et des couteaux de boucher, l’autre une importante somme d’argent. Charlie y tomba deux fois amoureux. D’abord, il s’éprit de cette ville paisible de Virginie dont les habitants semblaient vivre dignement, dans la crainte supportable d’un Dieu qu’ils avaient toutes les raisons de trouver plutôt bienveillant à leur égard. Une preuve parmi d’autres : il n’y avait encore jamais eu de crime à Brownsburg. La deuxième fois que Charlie tomba amoureux fut le jour où il rencontra la belle Sylvan Glass...
In the spellbinding new novel from #1 New York Times bestselling author Robert Goolrick, 1980s Manhattan shimmers like the mirage it was, as money, power, and invincibility seduce a group of young Wall Street turks. Together they reach the pinnacle, achieving the kind of wealth that grants them access to anything--and anyone--they want. Until, one by one, they fall. With the literary chops of Bonfire of the Vanities and the dizzying decadence of The Wolf of Wall Street, The Fall of Princes takes readers into a world of hedonistic highs and devastating lows, weaving a visceral tale about the lives of these young men, winners all . . . until someone changes the rules of the game. Goolrick paints a magnificently authentic portrait of an era, tense and stylish, perfectly mixing adrenaline and melancholy. Stunning in its acute observations about great wealth and its absence, and deeply moving in its depiction of the ways in which these men learn to cope with both extremes, the novel travels from New York to Paris to Los Angeles to Italy to Las Vegas to London, on a journey that is as startling as it is starkly revealing, a true tour de force.
Winsconsin, automne 1907. Ralph Truitt, magnat local craint et respecté attend, fébrile, sur un quai de gare enneigé. Ce train en retard renferme son dernier espoir. Après 20 ans de veuvage, l’homme a enfin décidé de se remarier et a placé plusieurs mois auparavant une petite annonce dans un journal de Chicago. Et Catherine Land a répondu. Se décrivant comme « une femme simple et honnête », elle est celle qu’il appelait de tous ces voeux. Mais les apparences peuvent être très trompeuses. Et l’épouse modèle cacher bien des secrets… Premier roman étourdissant de Robert Goolrick, Une femme simple et honnête a été comparé aux États-Unis à Jane Eyre ou aux Hauts de Hurlevent, des soeurs Brontë.
Si vous avez aimé Autant en emporte le vent... Diana Cooke est née avec le siècle, mais son nom remonte bien plus loin, jusqu'aux pères fondateurs de l'Amérique. Descendante d'une grande lignée, elle habite Saratoga, une magnifique propriété de Virginie qui fait la fierté de la famille. Mais cette maison, comme son nom, est lestée par deux dettes abyssales. La première est financière, et le seul moyen de s'en acquitter est au prix d'un mariage. La seconde est plus profonde : la maison des Cooke et le prestige de leur nom sont bâtis sur le plus sombre péché du Sud, l'esclavage. Et cette dette-là ne se rembourse que par une malédiction. La voici peut-être qui s'avance sous la forme du capitaine Copperton. Dans ce splendide roman, Robert Goolrick nous offre une fable sur l'amour, la dette et le poids du péché de nos pères. Après l'incendie est suivi d'une nouvelle autobiographique inédite, Trois lamentations.
