A Life Without End
- 340 pages
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Sapiens meets Dorian Gray in a brutal expose about life and mortality.
This French author is renowned for his sharp, satirical gaze on modern life and consumer culture. His work is characterized by a blend of cynicism and deep nostalgia, often exploring themes of love, youth, and the search for meaning in a world of superficiality. With an unerring ear for language and a provocative style, Beigbeder dissects the paradoxical nature of contemporary society. His writing is irresistibly entertaining, insightful, and prompts readers to reflect on their own existence.







Sapiens meets Dorian Gray in a brutal expose about life and mortality.
Here, translated into English for the first time, are two novels by Frederic Beigbeder, award-winning author of 'Windows on the World'. Both narrated by Marc Marronier, a rich, superficial advertising executive, they take the reader on a journey through the demimonde of Parisian clubs and bars."
Beigbeders nouveau roman explore le drame du 11 septembre à travers les pensées de Carthew Yorston, un agent immobilier texan, et ses fils, pris au restaurant 'Windows on the World' lors de l'attaque. L'auteur dresse un tableau de sa génération, confrontée à la destruction de ses valeurs superficielles par cet événement tragique.
Au hasard d’une galerie de Saint-Jean-de-Luz, Frédéric Beigbeder aperçoit un tableau représentant une cabane, dans une vitrine. Au premier plan, un fauteuil couvert d’un coussin à rayures, devant un bureau d’écrivain avec encrier et carnets, sur une plage curieusement exotique. Cette toile le fait rêver, il l’achète et soudain, il se souvient : la scène représente la pointe du bassin d’Arcachon, le cap Ferret, où vit son ami Benoît Bartherotte. Sans doute fatigué, Frédéric prend cette peinture pour une invitation au voyage. Il va écrire dans cette cabane, sur ce bureau.Face à l’Atlantique qui à chaque instant gagne du terrain, il voit remonter le temps. Par vagues, les phrases envahissent d’abord l’espace mental et la page, réflexions sur l’écriture, la solitude, la quête inlassable d’un élan artistique aussi fugace que le désir, un shoot, un paysage maritime. Puis des éclats du passé reviennent, s’imposent, tels « un mur pour se protéger du présent ». A la suite d’Un roman français, l’histoire se reconstitue, empreinte d’un puissant charme nostalgique : l’enfance entre deux parents divorcés, la permissivité des années 70, l’adolescence, la fête et les flirts, la rencontre avec Laura Smet, en 2004… Temps révolu. La fête est finie. Pour faire échec à la solitude, reste l’amour. Celui des siens, celui que Bartherotte porte à son cap Ferret. Et Beigbeder, ex dandy parisien devenu l’ermite de Guétary , converti à cette passion pour un lieu, raconte comment Bartherotte, « Hemingway en calbute », s’est lancé dans une bataille folle contre l’inéluctable montée des eaux, déversant envers et contre tous des millions de tonnes de gravats dans la mer. Survivaliste avant la lettre, fou magnifique construisant une digue contre le réchauffement climatique, il réinvente l’utopie et termine le roman en une peinture sublime et impossible, noyée d’eau et de soleil. La foi en la beauté, seule capable de sauver l’humanité.Une expérience de lecture, unique et bouleversante, aiguisée, impitoyable, poétique, et un chemin du personnel à l’universel.
Eine Satire auf die Diktatur des Lachens »Ein exzellentes Buch. Dieser Beigbeder ist ein Diamant.« Paris Match Octave Parango ist Frankreichs meistgehörter Radiokolumnist. Jeden Donnerstagmorgen kommentiert er die Lage der Nation – blitzgescheit und amüsant, überdreht und bissig. Doch in Wahrheit ist Octave das Lachen vergangen: Die Neonwesten stecken die Republik in Brand, und selbst die besten Drogen täuschen ihn nicht mehr darüber hinweg, dass seine Tage als Don Juan gezählt sind. Octave Parango setzt an zu seinem letzten Schlag. Dies ist das Buch einer Selbstvernichtung. In ihm verwandelt sich Octave Parango in einen Don Quichotte – und ruft das Ende seiner Zeit lieber gleich selbst aus. Eine hinreißende Satire auf die Diktatur des Lachens, der Frédéric Beigbeder mit einer unerhörten Aufrichtigkeit begegnet. »Brutal und irre lustig, mal geistreich, mal verzweifelt.« Le Figaro Magazine
« En 1940, à New York, un écrivain débutant nommé Jerry Salinger, vingt et un ans, rencontre Oona O'Neill, quinze ans, la fille du plus grand dramaturge américain. Leur idylle ne commencera vraiment que l'été suivant... quelques mois avant Pearl Harbor. Début 1942, Salinger est appelé pour combattre en Europe et Oona part tenter sa chance à Hollywood. Ils ne se marièrent jamais et n'eurent aucun enfant. » F. B.
Герой нового романа Фредерика Бегбедера уже не тот, каким мы видели его в «99 франках» или «Любовь живет три года». Он - известный тележурналист, отец двух прелестных дочек, и очень хочет остаться молодым - если не обрести бессмертие, то уж во всяком случае продлить жизнь до бесконечности. Лично для него это сверхактуально, особенно учитывая, что жена у него юная и красивая. И вот в возрасте, когда прочие уже начинают подумывать о душе, новый Дориан Грей устремляется к вечной молодости. Смерть, по его мнению, это всего лишь проблема, которую нужно технически отрегулировать. Цель поставлена, и главный герой, его десятилетняя дочка Роми и их спутник робот по имени Пеппер пускаются в странствие. Париж, Женева, озеро в Альпах, Иерусалим, Нью-Йорк... Неужто ему и впрямь удастся продлить себе жизнь лет этак до трехсот? Посмотрим!
" Les Chiottes " tel est le nom du night-club branché que l'on inaugure place de la Madeleine. Marc Marronnier, jeune chroniqueur mondain, s'y rend à l'invitation de son vieux copain Joss, le DJ le plus demandé de New York à Tokyo, virtuose du sampler digital. Top models de la veille ou du lendemain, visages liftés, stylistes à la page, décadents de tout poil se pressent sur la piste, entre dance music et pilules d'ecstasy. " Le fric permet la fête qui permet le sexe. " Marc, lui, sait bien qu'il ne pense qu'à l'amour. Il le rencontrera à l'aube avec le visage le plus inattendu... Chroniqueur à Elle et à Max, Frédéric Beigbeder connaît à fond les bards branchés et les fêtes du jet set, le noyau dur - cinq cents personnes - des nuits parisiennes. Il aime trop ce monde-là pour moraliser. Il le connaît trop pour n'être pas lucide. Chamfort et Balzac étaient de la même trempe.