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Clément Rosset

    October 12, 1939 – March 27, 2018

    A former student of the École normale supérieure and an agrégé in philosophy, this author taught philosophy at the University of Nice. His work delves into profound philosophical ideas, offering readers stimulating contemplation. His approach is precise and analytical, allowing readers to explore complex themes in detail. The texts are written with elegance and intellectual depth.

    Schopenhauer, philosophe de l'absurde
    Das Reale in seiner Einzigartigkeit
    La fuerza mayor
    Das Prinzip Grausamkeit
    Ecrits sur Schopenhauer
    The Real and Its Double
    • The Real and Its Double

      • 86 pages
      • 4 hours of reading
      4.1(22)Add rating

      As a maverick philosopher unafraid of challenging the ideas and methods of his colleagues, Clément Rosset's work attempts to connect sometimes-lofty academic philosophy with the concerns of everyday life. For decades, he has worked to illuminate some of the most obscure metaphysical issues, often using popular film, theatre, novels, and comic books to illustrate his ideas, and as a result he has gained a reputation as both a happy sage and a singular mind. In The Real and Its Double, expertly translated by Chris Turner, Rosset takes on the question of the Real and humanity's natural ability to sidestep and bypass it. The key to this type of evasion, Rosset suggests, is a certain form of oracular thinking that lies buried in the origins of Western metaphysics and psychology. Here, Rosset eschews the prolix and paradoxical psychological theories of Derrida and Lacan in favor of an exceptional lucidity that speaks to his Nietzschean-tragic love of life. If good philosophy can be defined as expressing complicated things in a simple way, then here, in one of his best-known works, Rosset has proven himself a master.

      The Real and Its Double
    • Ecrits sur Schopenhauer

      • 253 pages
      • 9 hours of reading

      Dans la préface inédite qu'il a rédigée pour introduire à ses Ecrits sur Schopenhauer, composés dans les années 60, depuis longtemps introuvables et réunis ici en un seul volume, Clément Rosset déclare : " Je considère la philosophie de Schopenhauer dans son ensemble comme un modèle de lucidité et de cruauté, joint à un génie spéculatif proprement philosophique (qu'on en approuve ou non l'issue pessimiste, opposée par exemple à Spinoza dont Schopenhauer est parfois proche, ou encore à Nietzsche qui la lui a assez reprochée). Il est remarquable que l'influence de Schopenhauer ait été tardive mais immense dans la culture européenne, et que seuls les philosophes, Nietzsche excepté, l'aient boudé. Un minimum d'optimisme est sans doute nécessaire pour être reconnu comme philosophe à part entière, ce minimum d'optimisme qui manquait à Schopenhauer, ce dont je ne saurais pour ma part trop le louer. "

      Ecrits sur Schopenhauer
    • „Mit der ‚Grausamkeit’ ist zweierlei Anerkennenswertes gemeint: das Wirkliche, das auf menschliche Sicherheits- und Gewißheitssehnsüchte keinerlei Rücksicht nimmt. Zweitens eine Ethik, die das Gegenteil von Larmoyanz und Risikoversicherung ist und darauf gründet, daß wir ‚grausam’ zu uns selbst sind, uns nicht in die Tasche lügen - weg mit den rosa Brillen!“ (Sten Nadolny)

      Das Prinzip Grausamkeit
    • "La filosofía de Clément Rosset, autor de Lógica de lo peor, La anti-naturaleza, Lo real y su doble o El principio de crueldad, ha estado siempre al margen de los avatares de la filosofía contemporánea. Lo mismo que en el caso de Nietzsche, pero en mayor media aún, su inactualidad no tiene paliativos. Nada hay en él susceptible de ser utilizado por las sucesivas y pasajeras modas de las últimas décadas. Y tampoco cabe esperar que su obra sea reconocida, en lo que tiene de inactual, en un futuro próximo o lejano. La presente obra es, sin duda, un buen exponente de su producción filosófica: el análisis de esa fuerza mayor que es la "alegría", punto neurálgico de toda la filosofía de Rosset, y su incidencia en el que quizá sea el máximo antagonismo filosófico a que puede llegarse a este respecto. Si "Notas sobre Nietzsche" ilustra un modo particular de concebir la filosofía, consagrada principalmente a destacar el elemento de la afirmación, "El descontento de Cioran" ilustra a la perfección el caso contrario, esto es, el inconveniente de haber nacido, la teórica imposibilidad de aclimatarse al tiempo y a la muerte." -- Cubierta.

      La fuerza mayor
    • Die Realität besteht aus einzigartigen Gegenständen, sie ist eine unbestimmte Menge von nicht identifizierbaren Objekten. Aus eigentlich unbeschreibbaren Objekten, die um so realitätsgeladener sind, je schwieriger ihre Beschreibung ist. So sind die Objekte des Lachens, des Schreckens, des Films und der Musik Anlaß für befremdliche Wahrnehmungen des Realen.

      Das Reale in seiner Einzigartigkeit
    • Schopenhauer, philosophe de l'absurde

      • 107 pages
      • 4 hours of reading

      Le caractère absurde du Vouloir demeure, ainsi qu'il apparaîtra ailleurs, l'intuition majeure de Schopenhauer. Cette recherche de l'absurde est la seconde origine du désintéressement de Schopenhauer à l'égard des thèmes généalogiques. Le dessein philosophique n'est pas d'expliquer le comportement singulier, mais de faire apparaître l'absurde de tout comportement. Pour servir ce dessein, l'étude du Vouloir uniforme et aveugle est plus intéressante que l'étude de ses manifestations particulières, qui peuvent expliquer généalogiquement un caractère dans sa singularité. Précisément, le propos de Schopenhauer n'est pas d'expliquer, mais de dénoncer les explications. Aussi la généalogie n'est-elle invoquée qu'à titre de moyen, et jamais de fin. L'intuition généalogique, qui tourne court, n'est qu'une étape vers l'absurde. "

      Schopenhauer, philosophe de l'absurde
    • L'invisible

      • 92 pages
      • 4 hours of reading

      Réflexions sur la faculté humaine de voir ce qui est invisible, d’entendre ce qui est inaudible, et de réaliser cet exploit, apparemment contradictoire, qui consiste à ne penser à rien.L’invisible dont il est question ici ne con cerne pas le domaine des objets qu’une impossibilité matérielle interdit de voir (tel un visage plongé dans l’obscurité), mais celui des objets qu’on croit voir alors qu’ils ne sont aucunement perceptibles parce qu’ils n’existent pas et/ou ne sont pas présents (tel un visage absent d’une pièce éclairée). Cette sorte d’« existence » d’objets non existants, ou de visibilité de ce qui est invisible, si on la conçoit indé pendamment de toute pathologie hallucinatoire, semble évidemment une contradiction dans les termes. Cependant de tels objets existent, et ils sont légion. Car ce que j’ai appelé ailleurs la « faculté anti-perceptive » est double et complémentaire. Faculté, d’abord, de ne pas percevoir ce qu’on a sous les yeux ; mais aussi faculté de percevoir ce qui n’existe pas et échappe ainsi nécessairement à toute perception : de voir (ou de croire voir) ce qu’elle ne peut voir, de penser ce qu’elle ne pense pas, d’imaginer ce qu’en réalité elle n’imagine pas. Car l’homme possède la faculté de croire souvent appréhender des objets éminemment équivoques, dont on peut dire à la fois qu'ils existent et qu'ils n'existent pas.(Extrait de L'Invisible)

      L'invisible