Jean-Claude Carrière Book order

"We need books like this one." --Steven Pinker At last, stupidity explained! And by some of the world's smartest people, among them Daniel Kahneman, Dan Ariely, Alison Gopnik, Howard Gardner, Antonio Damasio, Aaron James, and Ryan Holiday. And so I proclaim, o idiots of every stripe and morons of all kinds, this is your moment of glory: this book speaks only to you. But you will not recognize yourselves... Stupidity is all around us, from the coworker who won't stop hitting "reply all" to the former high school classmate posting conspiracy theories on Facebook. But in order to vanquish it, we must first understand it. In The Psychology of Stupidity, some of the world's leading psychologists and thinkers--including a Nobel Prize winner and bestselling authors--will show you... why smart people sometimes believe in utter nonsense; how our lazy brains cause us to make the wrong decisions; why trying to debate fools is a trap; how media manipulation and Internet overstimulation make us dumber; why the stupidest people don't think they're stupid. The wisdom and wit of these experts are a balm for our aggrieved souls and a beacon of hope in a world of morons.

Das Buch: Die größte Erfindung der Menschheit. Zu diesem Schluss kommen Umberto Eco und Jean-Claude Carrière, Autoren aus Italien und Frankreich, die zusammenkamen, um sich über die Zukunft des Buches zu unterhalten. In einer rasanten Reise durch die Zeit, von der Papyrusrolle über Gutenberg bis zum E-Book sprechen sie über die Faszination von Bibliotheken, welche Bücher sie vor dem Feuer retten würden, und über die Frage, ob es Sinn macht, „Krieg und Frieden“ als E-Book zu lesen. Die originellen, unterhaltsamen und höchst informativen Anekdoten der beiden Passionierten sind ein Muss für alle, die das Buch als Gegenstand lieben.

Eine junge Frau betritt ein Arbeitszimmer und steht einem Herrn mit weißem Haar und gigantischem Schnauzbart gegenüber: Albert Einstein persönlich. – 'Und Ihre berühmte Gleichung?' – 'Welche bitte?' – 'Na, die in der ganzen Welt bekannte: E=mc².' – 'Ach so, die. Wissen Sie, es gibt noch andere. Mindestens ebenso interessante …' Und während draußen in der Welt des 21. Jahrhunderts die Uhren weiterticken, begeben sich die Studentin und der Physiker auf einen zeitlosen Streifzug zu den großen Ideen der modernen Wissenschaft, von der Relativitätstheorie bis zur Kernspaltung. Was wie ein geheimnisvolles Märchen beginnt, entwickelt sich zur erhellendsten Lektüre, die es je über Einsteins Theorien gegeben hat.

Die junge Schauspielerin Francoise synchronisiert pornografische Filme. In einem Brief an den Autor der „Abhandlung zur Entwicklung des erotischen Vokabulars“ beklagt sie sich über die einfallslosen und armseligen Wörter, mit denen sie arbeiten muß und bittet um Rat. Der gelehrte alte Herr (im Ruhestand) antwortet ihr mit ausführlichen Briefen, die keine Frage offen und kein Thema unbehandelt lassen.

Una ragazza di poco più di vent'anni passeggia per una città dell'Europa centrale (forse Zurigo), entra in una casa e si trova di fronte Albert Einstein. Da qui prende il via una conversazione tra la giovane e il professore nella quale Einstein affronta, con semplicità, i punti cruciali della sua rivoluzione scientifica: la relatività, la meccanica quantistica e la fisica classica, la nascita della bomba atomica e le responsabilità dello scienziato, senza dimenticare i temi legati alla sua biografia, come la passione per il violino, gli amori e il nazismo. Un incontro ricco di sorprese che porta la nuova Alice ad addentrarsi in un autentico mondo delle meraviglie nel quale dialoga con i fisici contemporanei e perfino con Newton.

Une rencontre imaginaire entre une jeune fille curieuse et Einstein, cinquant ans après la mort de celui-ci. Où l'on découvre l'univers intellectuel d'un homme qui changea à lui seul notre vision du monde.

En toute liberté de pensée comme de parole, les " à-côtés " matinaux de Jean-Claude Carrière sont les réflexions d'un esthète et d'un sage. Ces courtes chroniques du matin ont été diffusées sur France Inter pendant quatre mois (septembre 2003-janvier 2004). Il s'agissait pour moi d'un exercice nouveau - et difficile : trouver quelque chose à dire, en moins de trois minutes, qui soit en relation directe ou indirecte avec les événements du monde.Autrement dit, un "à-côté".En allant parfois chercher loin, dans l'espace comme dans le temps, je me suis efforcé de trouver ce rappel, cette résonance, souvent même ce fait historique mal connu qui permet au passé d'éclairer le présent - et vice versa. Il m'est arrivé de me dire, au cours de ces haltes, dans l'empressement du matin : et si au fond l'actualité n'existait pas ?

Vzpomínky francouzského filmového scenáristy Jeana-Clauda Carriera. Stejně jako konec let šedesátých jsou přesně určena i místa děje: New York,Paříž a Praha. Válka ve Vietnamu, hnutí hippies, pařížské povstání studentů v roce 1968 a konečně i srpnová invaze v Praze se tak dostávají do přímého kontextu a ozřejmují vzájemné ovlivňování zdánlivě nesouvisejících společenských událostí. Carriére, který je scenáristou filmové podoby Kunderovy Nesnesitelné lehkosti bytí, se zamýšlí nad smyslem revoluce a totalitním režimem, jak jej měl příležitost poznat díky Miloši Formanovi. Přesah do obecné roviny činí z knížky vzpomínek čtivou knihu úvah o dějinách takřka nedávných.

"Des fleurs, des pavés et des tanks" pourrait être le sous-titre de ces deux années d'utopie : deux années bariolées, insolentes, lyriques et sexuellement désordonnées. Deux années inoubliables qui ont fait bouger des sociétés assoupies et nous ont ouvert des portes inconnues.Par les hasards de mon activité de scénariste j'ai connu de près, dans les années 1968-1969, trois villes chaudes: New York, Paris, Prague - et de nouveau New York.Des fleurs dans les cheveux, des pavés dans la nuit, des tanks pour écraser l'espoir. Un vent d'utopie a vraiment soufflé sur ces années-là, que j'ai passées aux côtés de Luis Buñuel, de Louis Malle et surtout de Milos Forman, errant de pays en pays. Nous qui voulions écrire une petite histoire, nous étions chassés par la grande.De ces deux années extraordinaires, aujourd'hui détestées ou idolâtrées, j'ai tenté de tisser mes souvenirs. Je me suis rappelé, à travers les pièges de la mémoire, les cris, les refus, les fuites, les drogues, les rêves et le sexe qui se disait libre, et le monde nouveau qui s'annonçait tout proche.J'ai même essayé de dire où tout cela nous a menés, avec le sentiment, de plus en plus vif, que cette utopie a été la dernière qui se soit levée en Occident. En connaîtrons-nous, quelque jour, une autre?