Scraps
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The second volume of Michel Leiris's hugely influential four-volume autobiographical essay, available to English-language readers in a brilliant and sensitive translation by Lydia Davis
Michel Leiris was a writer whose work emerged from the surrealist movement, exploring the depths of human experience with an ethnographer's keen eye. His contributions to surrealist publications and his early novel demonstrated a commitment to avant-garde expression and introspection. Later, he collaborated with other significant literary figures, continuing to probe the boundaries of literature and self-discovery. His writing invites readers into a complex exploration of consciousness and the human condition.







The second volume of Michel Leiris's hugely influential four-volume autobiographical essay, available to English-language readers in a brilliant and sensitive translation by Lydia Davis
A dazzling translation by Lydia Davis of the first volume of Michel Leiris's masterwork, perhaps the most important French autobiographical enterprise of the twentieth century
The fourth and final volume of Michel Leiris’s renowned autobiography, now available in English for the first time, translated by Richard Sieburth
A major publishing event: the third volume of Michel Leiris's renowned autobiography, now available in English for the first time in a brilliant translation by Lydia Davis
Im Spiegel der Tauromachie gleitet Leiris Beschreibung der Corrida, des Stierkampfes in der Arena, zwanglos in eine Schilderung nahezu heiliger Zeremonien über, in die Beschwörung der mit Verderbnis sich paarenden Schönheit, in einen Versuch über den Tod und die Liebe.
Die durchgesehene und erweiterte Neuausgabe von Michel Leiris' "L’Afrique fantôme" beleuchtet koloniale Raubkunst und die Praktiken ethnografischer Aneignung in Afrika. Leiris schildert seine Erfahrungen und Widersprüche als Surrealist und Ethnologe, wodurch er zum Antikolonialisten wird. Die Neuausgabe enthält auch seine Briefe an seine Frau.
Un chien qui engage la conversation avec un client dans un bistrot de province? Un cheval, de surcroît troyen, qui prend un drink au comptoir d'un bar de luxe? Rien d'étonnant à cela - dans les textes ici rassemblés, tous marqués d'une touche d'absurdité, le fantastique est comme naturel. Jeux de mots, spéculations ironiques, faux rêves, délires logiques, usage subversif de la rhétorique, tout concourt au divertissement du lecteur, à son ravissement, mais aussi, en filigrane, à cette entreprise de démystification de la littérature chère à Raymond Queneau.
Lors d'un aller Paris-Rome en train, un passager remet en question son existence, ses choix, avant de se résigner à la médiocrité. Léon Delmont, 45 ans, est un homme qui a réussi. Pourtant, il étouffe auprès d'une épouse acariâtre et de quatre enfants qui sont pour lui des étrangers. Tandis qu'il se rend à Rome, comme chaque mois, il repense à sa maîtresse, la belle romaine, Cécile, qu'il a l'intention de faire enfin venir à Paris pour qu'ils vivent ouvertement ensemble. Il a donc pris une décision. Mais la fatigue du voyage en troisième classe et les souvenirs de nombreux autres voyages effectués seul, avec sa femme ou avec Cécile, vont peu à peu modifier cette décision. Avec La Modification, récompensé par le prix Renaudot en 1957, Michel Butor réussit le pari de raconter le bouleversement d'une vie à l'intérieur d'un compartiment, en l'espace de vingt heures. Le style extrêmement original, néo-réaliste, partagé entre le présent du voyage en train, le passé immédiat et le futur proche, caractéristique du Nouveau roman, est notamment remarquable par l'utilisation de la deuxième personne du pluriel : "Vous êtes encore transi de l'humidité froide qui vous a saisi lorsque vous êtes sorti du wagon". De ce huis clos, Delmont n'est pas le seul à sortir "modifié" : le lecteur, directement interpellé par l'auteur, reste subjugué. --Céline Darner
Qui sont ces gens que nous appelons « les sauvages » ? Comment réagissent-ils par rapport à nous ? Sommes-nous certains de les « voir » et de les comprendre ? Là réside l'essentiel de la recherche ethnologique de Michel Leiris. Elle le conduit à s'interroger sur le colonialisme et sur le racisme, sur le sens de la culture, à montrer la pluralité des civilisations. Comme chez Montaigne, la quête d'un homme total se situe au centre de son œuvre littéraire. Ses écrits ethnologiques en sont l'indispensable complément.