Jean Teulé was a French novelist who also explored comics, film, and television. Initially a comic artist, he transitioned to television before dedicating himself entirely to writing. His literary work is characterized by its depth and powerful narrative style, often focusing on historical figures and dramatic destinies. Teulé's stories are captivating, immersing readers in the atmosphere of the eras he depicts.
A true story. Tuesday 16 August 1870, Alain de Money, makes his way to the village fair. He plans to buy a heifer for a needy neighbour and find a roofer to repair the roof of the barn of a poor acquaintance. He arrives at two o'clock. Two hours later, the crowd has gone crazy; they have lynched, tortured, burned and eaten him. How could such a horror be possible? With frightening precision, Jean Teule reconstructs each step of one of the most shameful stories in the history of nineteenthcentury France.
The Marquis de Montespan and his wife Athenais share a rare true love in 17th-century France. However, when Madame de Montespan attracts the attention of King Louis XIV and is taken to Versailles, the Marquis vows to seek revenge.
Nasce probabilmente il 30 maggio del 1431, il giorno in cui muore Giovanna d’Arco. Prima di essere condannata a morte la madre, alla quale François dedicherà poi una delle due più famose ballate, affida il bambino già orfano di padre a un benefattore, un canonico, perché gli dia un’educazione. Guillame de Villon, cappellano di Saint-Benoit-le-Bétourné a Parigi, lo fa studiare da chierico e poi lo manda alla Facoltà delle arti. François però abbandona subito gli studi per vivere come un bohèmien ante litteram negli anni successivi alla Guerra dei cento anni, colmi di brutalità e di epidemie. Il 5 giugno 1455, in rue Saint-Jacques, uccide un prete in una rissa scoppiata per futili motivi. Scappa da Parigi. Viene catturato e rilasciato. Rapina chiese, mente, bestemmia, frequenta miserabili e notabili, studenti, preti e prostitute, poeti e re. Nessun sentimento umano gli è estraneo. Dai più sublimi ai più atroci, commette tutti gli atti che un essere umano può commettere. E attraversa come una meteora trent’anni della storia del suo tempo per sparire un bel mattino lungo la via per Orléans. Ha donato al mondo poesie potenti e misteriose, e aperto a tutti gli altri poeti successivi la via sontuosa dell’assoluta libertà. Il suo nome è François Villon e questo libro è il romanzo della sua vita, la vita del primo dei maudits, dei maledetti. Descrivendo magnificamente un’epoca di grandi furori, Jean Teulé riporta dall’inferno il principe degli irregolari, colui che ha fatto dell’esistenza stessa del poeta uno scandalo. Il romanzo della vita di François Villon, il primo dei poeti maledetti «Una vita sregolata, un omicidio, amicizie pericolose e un grande amore». il Gazzettino «Questo libro racconta la biografia romanzata di François Villon, il primo dei poeti maledetti. È la storia di una vita dissoluta e difficile, che è stata oggetto delle sue stesse ballate e che, nonostante tutto, ha contribuito a rendere immortale uno dei poeti più interessanti nella storia della letteratura francese». L'Ora del Salento «Un romanzo denso e sanguigno come un buon bordeaux, una discesa negli inferi della malavita medievale, un mondo esasperato in cui i confini tra il bene e il male perdono il loro senso». Dove «Una splendida biografia romanzata del primo poeta maledetto di Francia». Elle
En esta novela enormemente divertida, no exenta de humor negro, el lector penetra en la tienda y en la vida de una familia, los Tuvache, dedicada desde hace generaciones a la venta de productos (sogas para ahorcarse, toda clase de venenos, armas, etc.) que cualquier suicida debe tener a mano para el momento en que decida abandonar este mundo. Los Tuvache se sienten orgullosos de su trabajo y de su reconocida eficacia profesional, hasta que el menor de sus vastagos empieza a dar muestras inquietantes: es un niño alegre, al que le entusiasma la risa.
Azincourt, un joli nom de village, le vague souvenir d'une bataille perdue. Ce 25 octobre 1415, il pleut dru sur l'Artois. Quelques milliers de soldats anglais qui ne songent qu'à rentrer chez eux se retrouvent pris au piège par des Français en surnombre. Bottés, casqués, cuirassés, armés jusqu'aux dents, brandissant fièrement leurs étendards, tous les aristocrates de la cour de France se précipitent pour participer à la curée. Ils ont bien l'intention de se couvrir de gloire, dans la grande tradition de la chevalerie française. Aucun n'en reviendra vivant. Toutes les armées du monde ont, un jour ou l'autre, pris la pâtée, mais pour un désastre de cette ampleur, un seul mot s'impose : grandiose ! Avec la verve qu'on lui connaît et son sens du détail qui tue, Jean Teulé nous raconte ces trois jours dantesques où, sous une pluie battante, des milliers d'hommes se sont massacrés dans un affrontement sanglant d'autant plus désastreux que cette bataille était parfaitement inutile.
Alcoolique, amant frénétique et désordonné, bigame maltraité, Paul Verlaine oscilla jusqu'au tombeau entre l'ignoble et le sublime. C'est à la toute fin de sa vie, au moment de la pire déchéance morale et matérielle, qu'une soudaine vague de sympathie naquit en sa faveur parmi la jeunesse du Quartier latin. En quelques semaines, il devint leur idole.Fol amoureux de ce personnage magnifique et terrifiant, Jean Teulé a choisi de raconter cette période extravagante à travers le regard d'un adolescent de Béziers qui monta à pied à Paris dans le seul but de rencontrer Verlaine..." Jean Teulé signe avec Ô Verlaine ! son plus beau roman d'amour. " Pierre Drachline – Le Monde des Livres
Au début du XIXe siècle, partout en Bretagne, couraient encore les légendes les plus extravagantes. Le soir, au creux des fermes, on évoquait avec frayeur les apparitions de l’Ankou, l’ouvrier de la mort, squelette drapé d’un linceul et portant une faux. Cette terrible image frappa avec une violence inouïe l’imaginaire de la petite Hélène Jégado. Blottie contre le granit glacé des menhirs, l’enfant se persuada qu’elle était l’incarnation de ce personnage d’épouvante. Après avoir empoisonné sa propre mère, elle sillonna la région, éliminant tous ceux qui accueillaient avec bonheur cette parfaite cuisinière. Elle tuait tout le monde, sans discrimination. Et elle était si bonne, si compatissante au chevet des mourants, que personne ne pouvait soupçonner un seul instant son monstrueux dessein. À laisser trop de traces, elle finit par se faire prendre. Quels secrets renfermaient cette tête qui, le 26 mars 1852, sur la place du Champs-de-mars de Rennes, roula dans la corbeille de la guillotine ?
On n'est pas sérieux quand on a 36 ans, une queue-de-cheval rouge, une taille de géant et une armoire pour couche de prédilection. Robert vit à Charleville-Mézières, chez ses parents. Comme d'autres connaissent toutes les paroles de leur chanteur préféré, Robert sait tout Rimbaud. Par cœur. Isabelle, standardiste à la SNCF, ne sait encore rien de Rimbaud, rien de l'amour, ni rien du monde. Un doux colosse nominé Robert, échappé de Charleville, les lui révélera. Entre Le Caire, l'île Maurice, Dakar et Tarrafal, ces deux-là brûleront d'amour et de poésie. Vagabonds célestes, amants absolus, ils laissent à jamais sur le sable et sur les âmes la trace de leurs semelles de vent. Enfin, leur odyssée sublime confirmera le mot du poète, tatoué sous le nez même de Robert : je est un autre... Je est Rimbaud.
Une étrange épidémie a eu lieu dernièrement Et s'est répandue dans Strasbourg De telle sorte que, dans leur folie, Beaucoup se mirent à danser Et ne cessèrent jour et nuit, pendant deux mois Sans interruption, Jusqu'à tomber inconscients. Beaucoup sont morts. Chronique alsacienne, 1519.