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Olivier De Kersauson

    Ocean's Songs
    Die Fahrt über den Ozean
    Le monde comme il me parle
    De l'urgent, du presque rien et du rien du tout
    On n'arrête pas la connerie
    Homme libre ...
    • 77 jours, 5 heures, 3 minutes, 5 secondes, c'est le temps que mettront Olivier de Kersauson et son équipage de " fous furieux fabuleux ", à bord du trimaran " Lyonnaise des eaux-Dumez ", pour réaliser une extraordianire course autour du monde. Une expérience retranscrite en quelque deux cents pages de bonheur absolu pour tous les amoureux de la voile, et tous les fous d'aventure extrême. On entre dans ce récit pour ne plus le quitter, recevant de plein fouet toutes les avaries, les contretemps, les coups de gueule, les défis insensés, la lutte forcenée contre les éléments déchaînés, et ce magnifique désir inentamé de gagner !

      Homme libre ...
    • On n'arrête pas la connerie

      • 494 pages
      • 18 hours of reading

      " La connerie, c'est comme le judo, il faut utiliser la force de l'adversaire. " Toute sa vie, Jean Yanne a été captivé par la connerie. Plus fascinante encore que l'intelligence, parce que sans limites, elle a été sa grande passion. Doué d'un véritable génie pour la débusquer dans ses manifestations les plus variées, les plus discrètes comme les plus éclatantes, il remarquait : " J'ai la faculté d'assimiler la connerie ambiante comme les abeilles butinent les fleurs et prennent le pollen pour en faire leur miel. " Cette intégrale des textes, répliques et pensées de Jean Yanne, agrémentée de nombreux inédits, représente quelques-uns des grands moments de la lutte incessante et nécessaire contre la connerie menée par l'un de ses opposants les plus fidèles et les plus spirituels. Un ouvrage " ruisselant de cette intelligence du rire " qui caractérisait Jean Yanne, comme le note fort justement Olivier de Kersauson dans sa préface.

      On n'arrête pas la connerie
    • Le monde comme il me parle

      • 160 pages
      • 6 hours of reading

      « Je suis un nomade exalté par la découverte. Voilà, découvrir sans cesse... C’est le seul moment où l’on peut supposer que va surgir le "merveilleux". Fouiller le monde de tous les côtés, c’est exaltant. Je suis comme un chercheur d’or. Ce n’est pas tant l’or que je cherche que le moment magique quand je vais le découvrir. C’est toujours, au vrai, l’émotion que je cherche. Le nomadisme, c’est ça. Tous les jours, un chercheur d’or est tenu par sa capacité d’émerveillement. La magie. Le "merveilleux" est la raison de tout ce que je fais. L’émerveillement, c’est de la pluie d’or morale qui vous tombe dessus. Le tout, c’est de se trouver dans les bons endroits, là où il pleut de l’or. » O. de K.

      Le monde comme il me parle
    • Ocean's Songs

      • 252 pages
      • 9 hours of reading

      Partant du principe que l'homme libre part pour apprendre et revient pour rendre compte, Olivier de Kersauson a décidé de raconter sa géographie maritime. Il fait le portrait de ses mers comme il pourrait dresser le portrait d'une femme. Il nous révèle, surtout, son destin singulier de skipper d'exception. Pour la première fois peut-être, dans Ocean's Songs, il se dévoile.

      Ocean's Songs
    • Points: Le monde comme il me parle

      • 155 pages
      • 6 hours of reading

      " Notre histoire est solitaire. Notre naissance est solitaire. Quand on meurt, on est seul ; on a beau tenir la main d'un mourant de toutes ses forces, il part... Les choses fortes de notre vie sont solitaires, toujours. L'illusion qu'on passe son temps à se donner, c'est que nous ne sommes pas seuls. Comme on est nombreux, on tente de se reconstituer un monde où l'on serait ensemble ; mais on n'est jamais ensemble. Irréductiblement seuls. J'aime la solitude. J'ai la nostalgie de l'homme seul. Mon fantasme absolu, c'est que le monde ressemble à la réalité que je perçois. En somme, la non-solitude n'est qu'un accident. J'ai souvent plaisir avec le groupe mais je ne sais pas partager mes émotions. D'ailleurs, ceux qui disent partager leurs émotions, je me demande comment ils font. La vie est solitaire. Et j'ai le goût d'être seul. La solitude en mer, c'est l'isolement du reste des hommes. La vraie vie est en mer. La vie, à terre, c'est de la complaisance ? pas de la compromission car le mot est inélégant ? de la complaisance pour l'autre, de la politesse vis-à-vis de lui. Quand vous marchez sur un trottoir, vous envoyez en permanence des signaux pour que les autres s'écartent. La solitude, chez les anglo-saxons, elle est suspecte car pour eux, tout est " dans le groupe ". Chez les latins, elle est déjà plus romantique. D'ailleurs, on remarque que dans une course en solitaire, il y a plus de latins que d'anglo-saxons. Au vrai, la solitude, c'est une belle histoire... c'est nous. Voilà, c'est nous. Je suis seul donc je suis moi. Ce n'est pas avec les autres qu'on se connaît, c'est seul. Alors, on éprouve ce que l'on est : tout ce qu'il y a de formidable et d'infiniment médiocre. C'est une comptabilité qu'on ne rend pas obligatoirement publique ! On ne vit pas pour l'image que vous renvoie l'autre mais pour être mieux en soi. Le destin est une forme d'intransigeance : il faut tenter de bien se tenir avec soi. La vraie histoire, c'est soi. Mieux on se connaîtra et plus on sera indulgent avec l'autre. La meilleure manière d'aimer un peu l'autre, c'est de se connaître bien. " O. de K. À la suite d' Ocean's Song , Olivier de Kersauson revient sur ses courses, ses grands exploits. Plus intimiste, il parle aussi de sa vie, de ses sentiments, de l'amour, de l'amitié... Avec ce deuxième opus, il se livre davantage sur sa véritable nature. Au vrai, il tombe le masque. Ainsi découvre-t-on un homme profond, habité par des idéaux.

      Points: Le monde comme il me parle
    • L'Almanach 2009 des Grosses Têtes

      • 325 pages
      • 12 hours of reading

      Le premier Almanach des Grosses Têtes a demandé trente-deux ans de réflexion. Composé sous la houlette de Philippe Bouvard, il fait appel aux trésors de la sonothèque de l'émission ainsi qu'aux plumes délirantes de Jacques Mailhot, d'Eric Laugérias et de Bernard Mabille. Il prolonge sur toute une année deux heures quotidiennes d'impertinence culturelle et d'improvisations déjantées. Avec, en filigrane, la fière devise des Grosses Têtes : un jour sans rire est un jour perdu.

      L'Almanach 2009 des Grosses Têtes
    • Ce livre est un récit d'un genre neuf, celui du style de vie d'un marin considérable doublé d'un poète. " Quand je regarde la mer, je me promène dans le temps du monde ". Vous l'ouvrirez à n'importe quelle page, il n'y a pas d'ordre dans les plaisirs, pas de classement dans les enchantements. C'est de ceux-là dont Olivier de Kersauson nous entretient. Voici donc le catalogue original d'un esthète singulier amoureux de la mer. " Il y a des artistes qui peignent des tableaux. Moi, je peins le sillage blanc sur le bleu des mers ".

      Promenades en bord de mer et étonnements heureux