Lui, c'est Robert. On le reconnaît facilement : béret, bretelles, bedaine. Elle, c'est Raymonde, sa femme. À eux deux, ils forment un couple déprimant : les Bidochon. Déprimant, mais furieusement drôle. Depuis que Binet, l'un des auteurs du magazine d'humour Fluide glacial, raconte leur quotidien conjugal dans ses bandes dessinées, ils ont goûté à toutes les expériences du français moyen contemporain. Soit, entre autres, les habitations à loyer modéré, l'accession à la propriété, les voyages organisés ou la sacro-sainte télé. Cette fois, les voilà qui se mettent au téléphone portable. Et, comme d'habitude, c'est hilarant sur toute la ligne. Il faut avoir vu Robert expliquer à Raymonde, vaguement réticente à la modernité, que la seule chose qui compte, avec un portable, ce n'est pas de téléphoner : c'est d'user le forfait... Caricaturaux, les Bidochon ? Bien sûr, bien sûr. Mais tout de même, en réfléchissant bien, le lecteur finit par se demander s'il n'a pas, certains jours, quelque chose en lui des Bidochon... --Gilbert Jacques
Christian Binet Books






Lui, c'est Robert. On le reconnaît facilement : béret, bretelles, bedaine. Elle, c'est Raymonde, sa femme. À eux deux, ils forment un couple déprimant : les Bidochon. Déprimant, mais furieusement drôle. Depuis que Binet, l'un des auteurs du magazine d'humour Fluide glacial, raconte leur quotidien conjugal dans ses bandes dessinées, ils ont goûté à toutes les expériences du français moyen contemporain. Soit, entre autres, les habitations à loyer modéré, l'accession à la propriété, les voyages organisés ou la sacro-sainte télé. Cette fois, les voilà qui se mettent au téléphone portable. Et, comme d'habitude, c'est hilarant sur toute la ligne. Il faut avoir vu Robert expliquer à Raymonde, vaguement réticente à la modernité, que la seule chose qui compte, avec un portable, ce n'est pas de téléphoner : c'est d'user le forfait... Caricaturaux, les Bidochon ? Bien sûr, bien sûr. Mais tout de même, en réfléchissant bien, le lecteur finit par se demander s'il n'a pas, certains jours, quelque chose en lui des Bidochon... --Gilbert Jacques
Lui, c'est Robert. On le reconnaît facilement : béret, bretelles, bedaine. Elle, c'est Raymonde, sa femme. À eux deux, ils forment un couple déprimant : les Bidochon. Déprimant, mais furieusement drôle. Depuis que Binet, l'un des auteurs du magazine d'humour Fluide glacial, raconte leur quotidien conjugal dans ses bandes dessinées, ils ont goûté à toutes les expériences du français moyen contemporain. Soit, entre autres, les habitations à loyer modéré, l'accession à la propriété, les voyages organisés ou la sacro-sainte télé. Cette fois, les voilà qui se mettent au téléphone portable. Et, comme d'habitude, c'est hilarant sur toute la ligne. Il faut avoir vu Robert expliquer à Raymonde, vaguement réticente à la modernité, que la seule chose qui compte, avec un portable, ce n'est pas de téléphoner : c'est d'user le forfait... Caricaturaux, les Bidochon ? Bien sûr, bien sûr. Mais tout de même, en réfléchissant bien, le lecteur finit par se demander s'il n'a pas, certains jours, quelque chose en lui des Bidochon... --Gilbert Jacques
Un 2e jour au musée avec les Bidochon
- 95 pages
- 4 hours of reading
Pour la seconde fois, Raymonde et Robert Bidochon visitent un musée des Beaux-Arts. Le couple va découvrir des oeuvres de Manet. Gauguin, Rubens, Doré, et seize autres toiles de maîtres. Leurs réactions sont toujours aussi croustillantes. Livre conçu en collaboration avec les musées des Beaux-Arts de Caen et de Lyon.
Kador
- 49 pages
- 2 hours of reading
Te le spectateurs
- 51 pages
- 2 hours of reading
Rien de tel qu'un départ en vacances pour s'évader du stress et de la routine. Et quoi de mieux qu'un petit bungalow à Loumel, en Bretagne, pour passer un bon moment ? L'occasion pour Robert et Raymonde de découvrir les joies des villages de vacances : le restaurant interdit aux enfants, les jeux de groupes lors de l'apéritif, le saucisse-purée, les excursions chronométrées et le musée du lacet.
U-Comix Klassiker - 2: Kador
- 49 pages
- 2 hours of reading



