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Pierre Chaunu

    August 17, 1923 – October 22, 2009

    Pierre Chaunu was a French historian whose work delved into the intricate social and religious histories of both Latin America and France across the 16th to 18th centuries. A pioneering figure in quantitative history, he founded the methodology of "serial history," focusing on deep structures and long-term trends that shaped the modern world. His approach was characterized by meticulous examination and a unique perspective on historical dynamics. Chaunu's scholarship offered profound insights into the forces that molded societies.

    Pierre Chaunu
    Der Mensch
    Cywilizacja wieku oswiecenia
    Brève histoire de Dieu
    La justice révolutionnaire
    Baptême de Clovis, baptême de la France
    Histoire de l'Amérique latine
    • 2001

      Při četbě této knihy světoznámého historika lze zažít nejedno dobrodružství, jak napovídá i její název: lze zauvažovat nad „klasickou“ periodizací reformačních událostí, nad překladem a výkladem Písma, nad významem Jana Viklefa, Jana Husa, nad významem hesel symbolizujících reformaci („pouhou vírou“, „pouhou milostí“) i působností knihtisku, nad vztahem humanismu k církevním reformám. A nebyl by to francouzský historik, aby nás současně nepřenesl do všech možných souvislostí, včetně dnešní situace křesťanstva v pluralitním světě. A nebyl by to francouzský historik, aby nás nepřesvědčoval o tom, že dějiny lze vyprávět esejistickým stylem, prozrazujícím sečtělost, celkový rozhled i znalost řemesla.

      Dobrodružství reformace. Svět Jana Kalvína
    • 1996
    • 1996

      Der Mensch

      • 351 pages
      • 13 hours of reading

      Dieses Buch legt über die herkömmlichen Geschichtsdaten einen Raster der entscheidenden Entwicklungen und bedeutsamen Ereignisse der Menschheitsgeschichte.

      Der Mensch
    • 1992
    • 1987

      La justice révolutionnaire

      • 306 pages
      • 11 hours of reading

      Chronique de la Terreur... Traitant de la justice révolutionnaire, telle qu'elle s'exerça de septembre 1792 à juillet 1794, jamais un historien n'avait entrepris de l'illustrer dans les faits, mois après mois, jour après jour, en mettant en œuvre les dossiers de la police, documents incontestables dans leur simplicité même. Jean-François Fayard, juriste et historien universitaire, a mené l'enquête, dont voici les surprenantes conclusions. Fouquier-Tinville, accusateur public du tribunal révolutionnaire, eut à trancher 5 343 cas. Grandes affaires politiques - celles de Marie-Antoinette, des Girondins, de Danton, de Hébert, de Robespierre, enfin. Affaires relevant effectivement d'actes contre-révolutionnaires - mais elles ne furent pas plus de 580. Et les autres ? Dans la plupart des cas ? A Paris et en province, ce qui est " jugé révolutionnairement ", ce sont " propos " ou " attitudes " estimés hostiles à la Révolution, le plus souvent sur délation. Et là, ce ne sont ni les politiques ni les aristocrates qui sont condamnés, mais n'importe qui. Un homme a appelé son chien " Citoyen " ; une femme a réclamé à sa voisine un rouet : un sectionnaire a compris " roi "... Ainsi le Tiers-Etat fournit soixante et onze pour cent des condamnés à la guillotine, contre vingt pour la noblesse et neuf pour le clergé. Ainsi va la Terreur. Comme il est montré dans cet ouvrage, qui remet bien des idées reçues à la place qui leur revient.

      La justice révolutionnaire
    • 1982